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art

Armida de Rossini, enchanteur...

Publié le par Marie Castillo

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Armida au MET avec Renée Fleming et Lawrence brownlee, des bêtes de scène... 

 

 

 

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cool-heure de nuit

Publié le par Marie Castillo

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focus sur la peinture espagnole

Publié le par Marie Castillo

La collection Perez Simon est présentée actuellement au Musée Jacquemart André, hôtel particulier légué à l'Institut de France. des 50 oeuvres présentées, je retiens les suivantes :

 

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Hermen ANGLADA-CAMARASA
Feria de Valence
Vers 1907, huile sur toile, 71,1 x 108,6
Collection Pérez Simón, Mexico
© Fundación JAPS
© Studio Sébert photographes
© ADAGP, Paris 2010

 

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Salvador Dalí
L’Ascension du Christ
1958, huile sur toile, 115 x 123
Collection Pérez Simón, Mexico
© Fundación JAPS
© Studio Sébert photographes
© Salvador Dalí, Gala-Salvador Dalí Fondation / ADAGP, Paris, 2010

 

 

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Julio Romero de Torres (1874-1930)

Portrait de femme

© Fundación JAPS © Studio Sébert photographes

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Monteverdi-Piazzolla

Publié le par Marie Castillo



Fantastique, un brassage, une rencontre entre le baroque et les faubourgs de Buenos Aires

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fantaisies statuaires

Publié le par Marie Castillo

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Le corps singulier et pluriel

Publié le par Marie Castillo

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Sophie Sainrapt


une agréable exposition à la galerie d'art Insula (Odéon) sur le corps en mouvement dynamique, ouvert sur l'échange et la promesse du partage.

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Don Carlo à l'Opéra Bastille

Publié le par Marie Castillo

Don Carlo est un opéra de Verdi en 5 actes (1867) d'après un livret de Schiller. Voici la distribution suivie du résumé des différents actes.

Direction musicale Carlo Rizzi
Mise en scène Graham Vick
Décors et costumes Tobias Hoheisel
Lumières Matthew Richardson
Chef de chœur Patrick Marie Aubert

Filippo II Giacomo Prestia
Don Carlo Stefano Secco
Rodrigo, marchese di Posa Ludovic Tézier
Il Grande Inquisitore Victor Von Halem
Un Frate Balint Szabo
Elisabetta di Valois Sondra Radvanovsky
La Principessa Eboli Luciana D’Intino
Il Conte di Lerma Jason Bridges

Orchestre et choeur de l’Opéra national de Paris



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Une paix fragile a été scellée entre la France et l’Espagne par les fiançailles d’Elisabeth de Valois et de l’infant Don Carlos. Les deux jeunes gens tombent amoureux l’un de l’autre mais le roi d’Espagne, Philippe II, décide finalement d’épouser lui-même Elisabeth.


Acte I

Le couvent de Yuste - Sur la tombe de Charles Quint, Carlos cherche le réconfort dans la prière, mais la pensée d’Elisabeth le poursuit. Son ami d’enfance, Rodrigue, marquis de Posa, le supplie de secourir le peuple flamand opprimé par le joug espagnol. Carlos lui avoue son amour pour sa belle-mère. Rodrigue le presse de surmonter son tourment en se vouant à la cause de la liberté. Aux portes du couvent - La princesse Eboli divertit les dames de la cour par une chanson. Elisabeth entre, bientôt rejointe par Rodrigue, qui la supplie de recevoir l’Infant. Elisabeth consent et congédie les dames de la cour. Carlos demande à la reine d’intercéder auprès du roi pour qu’il soit envoyé en Flandres. Mais il se laisse emporter par sa passion. Elisabeth ne veut lui accorder que la tendresse d’une mère. Carlos s’enfuit. Le roi entre et s’irrite de trouver la reine seule. Il la réprimande en ordonnant le retour en France de sa dame d’atour. Au moment où la cour se retire, il demande à parler en privé au marquis de Posa. Rodrigue en profite pour plaider la cause du peuple flamand. Voyant dans cet idéaliste sans peur un homme en qui il peut avoir confiance, Philippe II lui confie ses doutes concernant son fils et sa femme. Involontairement, Rodrigue est devenu le confident du roi.


Acte II

Les jardins de la reine - Carlos a reçu un billet, qu’il croit être de la reine, lui donnant un rendez-vous nocturne. Une femme voilée s’approche dans l’obscurité. Il lui déclare son amour, mais c’est Eboli, secrètement amoureuse de l’Infant, qui est l’auteur du billet. Carlos réalise trop tard sa méprise : la princesse a deviné son secret et, en dépit des efforts de Rodrigue pour lui imposer le silence, elle trahit la furie d’une femme méprisée. Rodrigue demande à Carlos de lui remettre tous les documents compromettants qu’il possède. Carlos hésite - Posa n’est-il pas le favori du roi ? - mais finit par confier les papiers à son ami. L’autodafé - Le peuple se rassemble pour assister au bûcher des hérétiques. Philippe II jure de servir Dieu avec le feu et l’épée. Carlos émerge de la foule, à la tête d’un groupe de députés flamands venus plaider la cause de leur pays. Il sollicite la charge de gouverneur des Flandres. Devant le refus de son père, il tire son épée. Le roi ordonne qu’il soit arrêté. Seul Rodrigue ose désarmer son ami.



Acte III

Le cabinet du roi - Philippe II se lamente sur sa vie sans amour. Il demande au Grand Inquisiteur s’il sera pardonné s’il condamne son propre fils à mort. Après l’avoir rassuré sur la nécessité de ce sacrifice, le Grand Inquisiteur exige qu’il lui livre Posa, son nouvel ami aux idées subversives. Philippe II voudrait refuser, mais il est lui-même menacé par l’Inquisition et il doit s’incliner devant le prêtre. Elisabeth entre, alarmée par le vol de son coffret à bijoux. Il est entre les mains du roi et, à l’intérieur, se trouve un portrait de Carlos. Le roi l’accuse d’adultère. Elle s’évanouit. Philippe II appelle Eboli et Posa à l’aide. Posa comprend qu’il doit agir rapidement et se sacrifier. En proie au remords, Eboli confesse à Elisabeth que c’est elle qui l’a dénoncée au roi par jalousie. Elle lui avoue aussi avoir été la maîtresse de son époux. Elisabeth lui donne à choisir entre l’exil et le voile. Restée seule, Eboli maudit sa « fatale beauté », mais elle veut tenter de sauver Carlos. La prison - Des papiers compromettants ont été retrouvés chez Rodrigue. Il demande à Carlos de poursuivre seul le combat pour les Flandres, car lui-même sait qu’à cette heure, sa tête est mise à prix. Un coup de feu est tiré. Avant de mourir, Posa avertit son ami qu’Elisabeth l’attendra au couvent de Yuste. Le roi entre et rend son épée à Carlos, mais une foule menée par Eboli, a envahi la prison pour demander la libération de l’Infant. Seule l’arrivée du Grand Inquisiteur rétablit le calme. Sur son ordre, tout le monde s’agenouille devant le roi.


Acte IV

Le couvent de Yuste - Elisabeth médite sur les vanités du monde. Carlos la rejoint. Il a maintenant renoncé à ses rêves et veut honorer la mémoire de Rodrigue en sauvant les Flandres. Ils se disent adieu, espérant se retrouver dans un monde meilleur. Philippe II surprend leur dernières paroles et veut livrer son fils à l’Inquisition, mais celui-ci se réfugie dans la tombe de son grand-père.


Source : Site internet de l'Opéra de Paris, août 2009


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surprenante nature

Publié le par Marie Castillo

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Reuters, Joe Petersburger, National Geographic

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la melancolie des dragons

Publié le par Marie Castillo

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La mélancolie des Dragons est une pièce de Philippe Quesne en représentation au théâtre du Rond-Point des Champs-Elysées.

Un groupe d’hommes chevelus, peut-être hard-rockers sont coincés sur la route enneigée. Leur voiture traîne en remorque une cabine insolite. Une femme Isabelle passe devant la voiture, s’arrête et propose son aide.

Les hommes chevelus lui font découvrir l’univers de la cabine, lieu de représentation d’un spectacle qu’ils sont en train de monter sur la mélancolie des dragons.

L’histoire est un prétexte pour délibérer sur la liberté de la création artistique à partir de choses simples, les éléments naturels, qui participent du spectacle.

Autour d’Isabelle, les hommes chevelus sont prévenants et attentionnés, désireux de lui faire connaître leur univers de chevaliers des temps modernes, fans de hard-rock, faussement durs, véritablement naïfs.

Le spectacle joue sur l’horizon d’attente du spectacteur pour le surprendre voire l’agacer ou encore l’enchanter de la vie aussi légère que ces bulles d’eau qui envahissent la scène, ou brouiller ses repères par un voile de fumée

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voila lactee, Calimero comes back

Publié le par Marie Castillo

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Retour sur image :

Calimero, coquille blanche comme la voie lactée; Boosté, n'aime pas trop les tours toutes grises aux pieds d'argile, ni les marchands du temple d'ailleurs. Reserves- toi les revirements du destin, de la detresse et du bonheur. Desires ce que tu désires, petite coquille d'oeuf amicale.

Calimero, comme je l'ai déjà écrit, est l'anti-héros bien aimé de mon enfance.

Calimero, je t'offre une fleur : un Camélia qui clignote, découpé pour mieux voir la vie en rose :



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